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Sylviane Bernardini se revendique comme une autodidacte. « Au début, je dessinais et je faisais de la peinture. Mais, à un moment, le côté plat ne me suffisait plus, je voulais créer en 3D ». Alors, Sylviane s'initie à la sculpture. La terre cuite, qu'elle malaxe au feeling, et dont surgissent des femmes et des hommes. Des femmes en sous-vêtements, guêpières et autres frous-frous que Sylviane, qui avoue un penchant pour les dessous, rehausse avec de la patine de poudre dorée ou argentée. La dentelle se dessine sur le brun des corps dédiés au charme et à la séduction. Est exposée à Strasbourg depuis 2015.
Sylviane Bernardini se revendique comme une autodidacte. « Au début, je dessinais et je faisais de la peinture. Mais, à un moment, le côté plat ne me suffisait plus, je voulais créer en 3D ». Alors, Sylviane s'initie à la sculpture. La terre cuite, qu'elle malaxe au feeling, et dont surgissent des femmes et des hommes. Des femmes en sous-vêtements, guêpières et autres frous-frous que Sylviane, qui avoue un penchant pour les dessous, rehausse avec de la patine de poudre dorée ou argentée. La dentelle se dessine sur le brun des corps dédiés au charme et à la séduction. Est exposée à Strasbourg depuis 2015.